Une bouteille à la mer de Nicholas Sparks
Une jeune femme rêveuse et solitaire se promène sur une plage de Cape Cod. Elle heurte une bouteille dans laquelle elle découvre la plus belle lettre d'amour qu'elle ait jamais lue.
La romance à l’état pur, d’ailleurs un mélo en a été tiré avec Kevin Costner et Robin Wright-Penn. Je me demande si je n’aurais pas mieux fait de regarder le film, d’ailleurs. Que ce soit devant le grand ou le petit écran, je suis bon public et je peux même dire que j’aime les trucs à l’eau de rose, avec les violons et tout et tout (bon, pas les téléfilms de l’après-midi sur M6, faut pas pousser, non plus).
En revanche, je suis plus critique face à mes lectures et je ne peux pas partager l’engouement qu’ont certaines lectrices (et même lecteurs, peut-être ?) pour « une bouteille à la mer ». Ce n’est pas que ça soit mal écrit, c’est qu’il n’y a pas de style, tout y est d’une facilité agaçante. Les dialogues sont d’un surfait !
En plus, la quatrième de couverture, que j’avais eu la mauvaise idée de lire avant d’ouvrir le livre, raconte l’histoire jusqu’à la page 241 (sachant que le livre en fait 286…). Enfin, vous me direz, tout ce qu’on y apprend était tout de même assez prévisible.
Je ne veux pas complètement descendre ce bouquin, je dois vous dire qu’à partir d’un certain moment de l’histoire je me suis volontiers laissée embarquer dans cette belle histoire d’amour. Ca fait du bien parfois un petit mélo !