Lassassin royal, tome 2 : lassassin du roi de Robin Hobb
Fitz, le bâtard royal, a survécu à sa première mission meurtrière, mais son contact avec la mort lui a laissé d’inaltérables séquelles. Revenu à Castelcerf, il retrouve celle qu’il a aimée, mais ne peut lui déclarer sa flamme sous peine de la condamner irrémédiablement. Car autour de lui, la Cour fourmille d’intrigue, les menaces se resserrent, la mort rôde. Il a pourtant quelques alliés dans la place : un prince qui lui fait découvrir les mystères d’une magie toute puissante, un maître assassin qui lui veut malgré tout du bien, et un loup, avec qui il partage lien étrange et périlleux...
Au début de ma lecture, j’avais quelques difficultés à me replonger dans l’univers des Six-Duchés et je ne retrouvais pas la même passion qu’avec « l’apprenti assassin ». Un peu de temps devant moi pour avoir une lecture ininterrompue et c’est revenu de plus belle !
Dans ce deuxième tome, Fitz parfait sa maîtrise de l’Art et renoue avec le Vif, deux des inventions de Robin Hobb que j’aime beaucoup (superbes idées !). On le voit aussi tisser des relations plus denses avec certaines personnes de son entourage.
Umbre n’est que peu présent, c’est dommage, j’espère le retrouver davantage dans le troisième tome. Le fou est toujours aussi intriguant et je n’entends rien aux passages dans lesquels il est censé se dévoiler… Je suis sûre que c’est une des clefs de l’histoire, j’ai hâte d’enfin comprendre qui il est ! Quant au roi Subtil, il apparaît sous un jour différent et je me demande comment sa situation et son rôle vont évoluer.
J’attends du troisième tome qu’il mette l’accent sur l’Art et ceux qui le pratiquent, on verra dans quelques temps si je suis exaucée… En tout cas, le deuxième a été largement à la hauteur de mon espérance.